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LE MONDE TOURBILLONNAIRE DE DESCARTES.


photographie tirée du livre «La Terre s'en va»
de Louis JACOT
(voir ouvrages de références)

En avance sur son temps, Descartes présupposait que l'univers est à la fois infini et plein. Le philosophe prétendait pouvoir « parler seulement de ce qui arriverait si Dieu créait maintenant quelque part dans les espaces imaginaires assez de matière pour composer [le monde] et qu'il agitât diversement et sans ordre les diverses parties de cette matière en sorte qu'il en composait un chaos (…) et que par après, il ne fît autre chose que prêter son concours ordinaire à la nature, et laisser agir suivant les lois qu'il a établies » (René Descartes, Discours de la méthode, Ve partie). On ne peut savoir s'il en avait conscience au moment de la rédaction des ses pensées, mais Descartes semblent être le précurseur de ce que pensent de nos jours les savants, à savoire que notre monde est cohérent obéissant à des lois précises.

Descartes pense que:

  • Dieu conserve toujours la même quantité de matière et de mouvement dans l'univers.
  • La matière ne change pas tant qu'elle ne rencontre pas d'autre matière.
  • Si un corps pousse un autre corps, il lui donne autant de mouvement qu'il en perd pour lui-même.

C'est à partir de ces principes que Descartes conçoit sa théorie des tourbillons. Le monde est composé de particules (grains de matière?). Les particules de terre sont les plus grosses, celles d'air sont moyennes et celles de feu sont petites. Elles s'assemblent en tourbillons : les particules de feu s'agglomèrent au centre (elles sont les plus rapides), ce qui fait que chaque tourbillon contient en son centre une étoile. Les étoiles exercent une pression sur les autres étoiles. Mais elles se recouvrent aussi de matière lourde qui les empêche finalement de briller. Le tourbillon disparaît alors et l'étoile couverte de matière lourde se déplace dans d'autres tourbillons et peut devenir une planète.

 

 

 

 

 


Le garde forestier autrichien Viktor SHAUBERGER a compris l'importance des tourbillons-vortex dans notre monde. Ci-dessous quelques unes de ses invention basées sur les propriétés des vortex.

L'intuition de l'existence des tourbillons quantiques dans la vie quotidienne n'est pas apparue dans l'esprit de certains humains par hasard. Le hasard qui ,d'ailleurs, n'existe pas du fait de la nécessaire cohérence de l'univers. Comme l'affirment les scientifiques, lesquels ont intégré dans leurs équations mathématiques cette cohérence de notre univers. L'hypopthèse de l'existence des tourbillons quantiques est évoquée au début du chapitre 5 du deuxième ouvrage de Pierre-Henri BARNEZET, «Les Mystères des Systèmes du Monde ». Dans la mesure où notre univers de matière "dense" est sous-tendu par un «océan de particules », un océan que BARNEZET nomme éther, il se peut qu'à l'instar des navires voguant sur la mer, tous les déplacements, tous les actes commis par les êtres vivants, les plantes, les animaux et les humains, génèrent des traces indélébiles, qui se présenterait sous la forme de sillages de tourbillons quantiques invisibles, indétectables par les instruments scientifiques modernes, mais bien réels, car définis par les équations (matière noire) et qui se déplacent dans cet éther pour revenir en boomerang vers leurs points d'origine de création.
L'éther, cet espace considéré comme vides par les scientifiques conventionnels, serait rempli de particules non encores détectées, en mouvement perpétuels sous forme de tourbillons. C'est dans ces tourbillons que se constituent les galaxies spirales, comme la notre. Cette existence de tourbillons quantiques qu'on pourraient qualifier de tourbillons éthériques, interfèrent donc dans les déroulements de tout ce qui existe dans notre univers sous forme de matière, les étoiels, les planètes, les lunes, la Terre, puis la Vie en génral allant du règne végétal au règne humain. De la nature des actes dépendent l'origine des tourbillons éthériques générés et conditionnent leurs sens de gyration, dextrogyre ou lévogyre, sens direct ou rétrograde, en fonction poul le moment d'une explication arbitraire et intuitive. Un peu à la façon de la lumière polarisante. Et du fait de ce sens de rotation les tourbillons reviennent à leurs points de départ chargés de bienfaits ou de souffrances qui conditionnent et orientent les parcours de vie des êtres vivants.

 

 

 

 


Voici une vision poétique de l'action bénéfiques tourbillons quantiques quand ils sont générés généré des actes d'amour. Un amoureux offre des fleurs à la femme qu'il aime. Il se génère un environnement tourbillonnaire bénéfique. Si la femme répond positivement à cette offrandce, les deux partenaires s'entourent de tourbillons quantiques synchrones...pour un certain temps. Il leur sera demandé d'entretenir cet environnement bénéfique et tant qu'il y arriveront, le couple sera stable. Cette vision romantique est un résumé grossier de la réalité qui être plus complexe.

Mais l'idée est là.

À prendre ou à laisser. La façon dont les tourbillons quantiques (hétériques) interviennent dans les parcours de vie, dans les destins, restera longtemps un mystère. Cependeant il est constant que les choix que les humains sont amenés à faire tout au long de leur vie terrestre interfèrent sur leur déstinée que par la transmision d'informations contenu dans la mémoire des tourbillons quantiques.
À vous de voir.

 

 

 

 

 

Pour des raisons techniques, les tourbillons sont représentés dans cette animation en 2D. Dans la réalité 3D les tourbillons prennent la forme de vortex, à la façon des tornades. Par simple analogie avec les déplacement des tornades, les tourbillons hétériques spropagent dans le cosmos peut-être de cette manière. Difficile à savoir. Tant que la science ne pourra déterminer de quoi est faite cette matière noir qui remplit l'espace intersidéral, on peut tout imaginer.


«Les physiciens parlent de création, de “vortex” ou anneaux tourbillonnant au sein du champ unitaire ultime. Ceux-ci vont persister indéfiniment et s'unir à tout ce qui leur est semblable (le même niveau énergétique) pour finir par former les atomes, les molécules et les formes que nous connaissons.»

LES TOURBILLONS QUANTIQUES


photographie tirée du livre «La Terre s'en va»
de Louis JACOT
(voir ouvrages de références)

Descartes utilise trois "éléments" tout aussi mystérieux pour expliquer la structure de l'univers : le feu (brillant, forme le Soleil et les étoiles), l'air (transparent, forme "les cieux") et la terre (opaque).

Descartes ne tolère aucun espace vide dans l'univers, la totalité de l'espace doit être remplie par les particules des "matières subtiles et pénétrantes" que sont le feu et l'air. D'autre part, pour lui, aucun objet ne peut avoir de mouvement si rien ne le "pousse". Il faut dire que les mathématiciens modernes restent perplexes devant leurs équations qui ne donnent pas d'esplications cohérentes au fait que l'univers est en expansion, d'une part, et que d'autre part, la vitesse de cette expansion s'accroit avec le temps. Les astrophysiciens modernes en sont donc réduits à imaginer la matière noire, l'éenrgie noire. Dans ce cas, la thèse de Descartes ne serait-elle pas visionnaire?

 

Pour décrire le système solaire, Descartes raisonne par analogie avec une observation simple : de petites particules solides, placées dans un récipient contenant de l'eau mise en rotation, sont "pressées" par l'eau et ont tendance à se rassembler au centre. Pourquoi s'arrêter à l'observation des tourbillons aquatiques présents sur notre planète. Il existe ceux qui régissent la circulation du vent laquelle est loin d'être uniforme mais au contraire tourbillonaire donnant lieu à des phénomènes extrêmes comme les tornades. Les climatologues contemporains expliquent la formation des tornades par l'effet de la force de Coriolis issue de la rotation terrestre. C'est mathématique, mais cela n'empêche pas que tout ce qui est en mouvement génère des tourbillons, un loi qui est visible dans la matière dense et forcément présente dans la matière éthérique, indétectable par les instruments scientifique actuels. Il suffit de visionner les photos exposées, issus de l'ouvrage de Louis Jacot pour comprendre que notre univers est construit autour
En extrapolant ses observations Descartes décrète que le mouvement des planètes autour du Soleil est attribué à l'action permanente d'un immense "tourbillon" fluide, formé de particules du "deuxième élément".
La Terre est elle-même au centre d'un "tourbillon" plus petit qui entraine la Lune. Chaque étoile est entourée par son propre "tourbillon", l'univers en est rempli et ils sont tous jointifs. Ils sont aussi totalement transparents donc invisibles.

Pour Descartes, la pesanteur et la chute des corps au voisinage de la Terre sont expliquées par le mouvement rapide et la pression exercée par le "tourbillon de matière subtile" au voisinage du sol.
Quant aux comètes, elles sont considérées comme des astres qui passent d'un tourbillon à l'autre, et non comme des objets appartenant au système solaire. (trajectoire sinueuse sur l'illustration ci-dessous, Crédit : Bibliothèque de l'Observatoire de Paris)*

 

 

 

 

 

 
Descartes a eu une tintuition géniale qui a été abandonnée par la science officielle contemporaine pour laquelle l'espace des composée de vide. La thèse de l'éther intersidéral a été abandonnée à la suite des expériences de
Toute l'argumentation de Descartes est purement qualitative, aucune relation numérique ne peut être déduite de sa théorie. Dès sa publication, il semblait clair que l'ellipticité des orbites démontrée par Kepler était difficilement compatible avec le mouvement circulaire postulé pour les "tourbillons".
Rien pourtant ne peut écarter l'idée que les tourbillons puissent être déformés localement pour des raisons de proximité avec d'autres tourbillons en raison des interférences. Rien n'interdit de penser que l'éther, tout comme cela se passe dans les masses liquides que sont les océans, soit traversé en premanence par des ondes déformantes.

La Grande tradition ésotérique, les religions orientales comme le bouddhisme, nous enseignent que tous les êtres humains malgré leurs sensations d'être des entités autonomes et différentiées sont reliées au Grand Tout de l'univers. Ce serait donc à travers l'éther que les liens quantiques s'établissent. Selon mon intuition, ce sont ces liens quantiques qui garantissent la cohérence de notre univers.

 

 

 

Dicussion sur la notion d'éther. C'est important car c'est dans l'éther composé de particules quantiques tourbillonnantes que se transmettent les forces et les informations indispensables au développement de l'univers.
Extrait du livre de Victor LAZLO:

Au début du siècle, on croyait que l'espace était empli d'un champ énergétique invisible (l'éther luminophore)qui cause qun friction lorsque les corps se déplacent et par conséquent et par conséquent ralenti leurs mouvements. Mais lorsque que l'expérience fatale de deux physiciens, Michelson-Morley, démontra que la friction n'existait pas, la science abandonna l'idée d'un éther. Le concept d'un espace entre la matière visible (planètes, soleil et astres divers) comme étant le vide absolu devint la normalité. Cependant le vide absolu se révéla devenir un obstacle insolubles pour l'élaboration des théories unificatrices ; celle qui établissent un lien entre la théorie générale de la relativité générale établie par le génial Einstein, la mécanique quantique ou les particules obéissent à des lois particulières. Les théoriciens inventèrent donc le concept du médium qui supporte le champ du point zéro où l'énergie est présente, même quand toutes les formes classiques ont disparu, c'est à dire au zéro absolu de température (- 273° C). Les scientifiques ont observé de plus en plus d'interactions entre ce champ du point zéro et les objets et processus du monde physique.

 

 

SENS DE GIRATION des tourbillons.

direct dans le sens des aiguilles d'une montre ou rétrograde, inverse.


Bizarre que la croix gammée évoque un tourbillon lévogyre, le sens auquel la tradition a lui a attribué une fonction négative.

Cela m'a conduit à visualisé ce champ du point zéro, c'est à dire l'éther, comme une sorte d'océan, plan parallèle, dans lequel tous les mouvements et les actes génèrent des tourbillons, forcément quantiques et complètement invisibles, indétectables selon la technologie actuelle, mais qui produisent des effets car ils interagissent avec la matière. Or, exactement de la même manière qu'un corps se déplaçant dans un liquide produit des ondes, tous nos actes génèrent des tourbillons quantiques qui interagissent avec notre environnement.

Logiquement, c'est à travers les tourbillons quantiques et suivant des conditions qui restent à déterminer, lorsque ces vortex de particules possèdent une énergie intrinsèque suffisante que les vœux et les prières sont exaucées. Il n'y aurait donc aucune intervention divine. Ce sont nos actes qui influent fortement les trajectoires prédéfinies de nos destinées, individuelles et collectives....par vortex quantiques interposés.

Voilà un concept qui ne va pas faire plaisir à tout le monde, notamment à celles et ceux qui ont des choses à se reprocher. Car les tourbillons quantiques qu'ils ont générés vont revenir à leurs points de départ et polluer les environnements.
Par contre, les individus honnêtes et durant le passé se sont comportés honorablement pourront déplorer les « intempéries » qui leur tombent dessus et ce demander pourquoi ces vortex de particules ne les soulagent pas des misères qui les accablent. Il n'y a pas de réponses rationnelles à ces questionnements, si ce n'est de dire qu'aucun de ces tourbillons ne peuvent venir perturber ou compromettre le plan d'évolution qui est dévolu à ces personnes sous peine de repartir depuis le début.

 

 

 

 

Karma et tourbillons quantiques.
Au début du siècle, en France, la désaffection de l'opinion envers l'Église catholique a conduit à l'émergence d'une société laïque dénuée de toute attache religieuse. Toutes les croyances religieuses ont été culturellement classées dans le domaine de irrationnel, c'est à dire ne se basant sur aucune réalité physique, concrète. Les mystiques, d'êtres illuminés, ont été considérés par la grande masse populaire comme des « ALLUMÉS ».
Le matérialisme s'est donc définitivement installé dans nos sociétés et comme les questions existentielles, inhérentes à tout être humain, n'ont pas disparu, le concept d'un nouveau paradigme (égrégore) a vu le jour dans lequel on explique que l'univers est né du hasard, il y a 12,7 milliard d'année, que l'évolution de la vie a été très lente et que les humains sont apparus il n'y a seulement que quelques milliers d'années. Une concept philosophique qui rejete toute idée d'un dieu créateur omnipotent devant lequel il est ordonné aux êtres humains de se prosterner.
Lorsqu'ils sont interrogés à propos des grandes questions de la vie, les gens répondent, comme une réminiscence de l'enseignement catholique, que la vie est une expérience unique. On naît, on apprend, on vit (on jouit) et on meurt. Il existe bien un vague pressentiment qu'il existerait peut-être un paradis où les âmes, selon qu'elles ont été bonnes mauvaises durant leurs parcours de vie iraient après la mort. Mais pour les matérialistes, l'âme est une invention des gens qui tentent de trouver un réconfort à leur angoisse de la mort. Les pensées, les rêves, ne sont que des manifestations résultant de réactions chimiques de protéines au niveau des neurones du cerveau. Lequel se comporterait comme un ordinateur perfectionné. A ce propos, Pierre-Henri BARNEZET propose une une nouvelle classification à l'intérieur du genre Humain: «l'homo informaticus.»

Les Orientaux ont intégré depuis des millénaires dans leurs philosophies et leurs religions, l'idée qu'il existerait un lien invisible qui relierait la vie et la mort de façon à préserver la permanence harmonieuse de l'univers. De ce fait la vie et la mort sont perçus sous une perspective différente. Il est vrai que les Orientaux ont bénéficié de l'expérience de grands maîtres comme Shakiamurni qui par la pratique de la méditation ont réussi à développer des perceptions nouvelles que les matérialistes classent comme des hallucinations qui ressemblent à celles que provoquent chimiquement les psychotropes. Pour les Orientaux, le lien qui existe entre les incarnations implique évidemment qu'il existe une sorte de suivi des expériences et actes du passé qu'il ont appelé karma.

 

 

 

 

Interdépendance cosmique

 
Voilà une affirmation qui existe depuis les millénaires dans les enseignements des philosophies et religions orientales et qui y tient une place particulière car elle y détermine la loi de cause à l'origine de la loi du karma. Il y a deux mille ans, alors que la technologie n'était pas développée par la seule chance pour les humains de percevoir la réalité du monde réidant dans les intuitions divines. Mais cette méthode a ceci de particulier que la connaissance qui en ressortait n'était pas démontrable, encore moins vérifiable par les esprits sceptiques et c'est ainsi que les croyances se sont substituées aux enseignements sincères qui ne pouvaient d'ailleurs être perçus que par des esprits éclairés, sensibles à la clairvoyance. L'idée simple de l'interdépendance de toutes les choses et de tous les individus est devenue très abstraite pour finalement être rejetée comme étant une entrave par les philosophes matérialistes au développement économique et à l'acumulation des richesses. Puisque à l'instar des astres qui suivent des orbites indépendantes, il ne pouvait exister aucun lien entre les activités humaines éloignées. Les gesn pouvaient alors se sucrer sur la planète sans vergogne.

Or la mécanique quantique nous explique que le vide cosmique n'existe pas et que l'éther est agité par des tourbillons crées par les humains et qui vont interférer avec ceux créés par leurs voisins proches...ou lointains. Dès lors, les matérialistes devront réviser leurs positions et agir et penser autrement. c'est le sens qu'il faut donner au grand saut quantique qui ne peut que survenir pour rectifier les déséquilibres causés par des humains ignorants.

 

 

 

Le son et la musique, générateurs de tourbillons.
Le son est par définition une vibration d'onde qui a besoin d'un support matériel pour se répandre. Dans ce qu'on appelait autrefois le vide de l'espace, ou vide cosmique, mais dont sait que c'est un champ d'énergie du point zéro, il est possible que les sons se propagent d'une manière différente, en générant des ondes d'une nature spéciale qui pourrait être de l'ordre de tourbillons quantiques. Il n'y a rien de scientifique dans mon affirmation, cela reste encore une vision très imprécise d'un homme qui ne dispose d'aucun don pour entrer dans le champ du point zéro, le champ akashique. Il n'empêche que pour compléter un paragraphe écrit dans une autre page de ce site, l'environnement sonore est très importants. Dans les édifice religieux encore spirituellement actifs, le silence des fidèle et des visiteurs est exigé. Les champs et les psaumes, qui sont des sons « qui pensent » comme aurait écrit Victor Hugo, sont soigneusement étudiés pour provoquer un environnement favorable à la méditation, à l'élévation spirituelle, peut-être pour certains êtres spirituellement avancé créer des conditions pour l'Éveil.

Dans nos sociétés moderne, la musique est savamment étudiées afin de produire un environnement quantique complètement défavorable à l'éveil des consciences, à entretenir les esprits dans l'ivresse et la dépendance des gens qui s'y soumette en les plongeant artificiellement dans un état euphorique. L'accumulation de tourbillons quantiques « sonores » dissonants ne présage rien de bon pour l'avenir.

 

 

 

Les prières et les égrégores.
Ce paragraphe est le complément de ce qui vient d'être décrit ci-dessus, mais se réfère aussi au chapitre sur la chrétienté et le rôle mystique des édifices religieux, notamment de celui des églises et cathédrales catholiques qui se répartissent sur l'ensemble de la planète par les profondes réformes liturgiques voulues par Vatican II. Les ondes émises par les psaumes et la ferveurs des fidèles pendant les prières sont de la forme de tourbillons quantiques. Des tourbillons dont la réalité physique échappe encore à notre entendement et nos perceptions parfaitement adaptées à ce monde de vibration de la matière dense. Ce n'est pas une raison nécessaire et suffisante pour ne pas les imaginer, tout comme les mathématiciens ont crée les nombres complexes pour résoudre des équations jusqu'alors insolubles.


 

 

 

 

La cosmologie moderne se heurte de nos jours à un « mur théorique » pour le moment infranchissable par leurs équations mathématiques. Pierre – Henri BARNEZET, dans son deuxième ouvrage intitulé « LES MYSTÈRES DES SYSTÈMES DU MONDE » au chapitre V nous relate une « brève histoire d'éther » (que je vous invite à lire en suivant ce lien.) ses connaissances acquises directement de la mémoire. En appuis à cet ouvrage, voici que l'écrivain hongrois, Victor LAZLO publie un livre intitulé « Science et Champ Akashique ». Ce qu'affirme LAZLO entre en synchronicité avec l'ouvrage de Pierre-Henri BARNEZET, de ceux de Jean Émile CHARON et de James REDFIELD.

 

On invoque souvent ce proverbe « qui sème le vent récolte la tempête ». Peut-être pourrions-nous affiner ce proverbe en le réécrivant de cette manière : qui sème des tourbillons de vent, récolte des tornades dévastatrices.

Dans l'enseignement bouddhiste, il est question du papillon............en cours de rédaction.

 

 

 

 

 

Vous devez vous préparer.