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BIENHEUREUX SONT LES COEURS PURS CAR ILS VERRONT DIEU

 

 

 

 

Les Béatitudes occupent dans le Sermont sur la Montagne une place prépondérante.

On les considèrent généralement, selon l'interprétation naturelle religieuse, comme des promesses qui, dans un avenir indéterminé pourraient se réaliser en récompense d'une vie morale acceptable. Néanmoins, dans les explications qui nous sont données, dans ce livre des neuf béatitudes, nous en voyons jaillir la signification présente et actuelle.

L'auteur, J. van Rijckenborgh, nous place devant le nonuple chemin du véritable devenir humain - un chemin qui peut-être suivi par chaque candisat frmement décidé.

Ainsi, cette partie du Sermon sur la Montagne retentirt comme un appel, apportant par là mêmel'aide pleine d'amour de la Fraternité de la Vie.

Bienheureux les affligés car il seront consolés.
Trois chapitres sont consacrés à l'auteur à cette béatitude si consolatrice pour beaucoup de croyants.
Cependant une toute petite phrase résume la volonté de J. van Rickjenborgh, on la trouve page 40 de son livre:

"Aucune tristesse selon la nature n'est comprise dans cette béatitude. Elle n'a trait à aucune consalation ordinaire répondant à notre tristesse naturelle, que ce soit en pensées, en action ou en actes. Pour la conscience gnostique c'est une certitude".

Bienheureux les débonnaires cars il hériteront de la terre


[...]"Le débonnaire ne se décourage pas devant un travail sans résultat apparent, ni lorsque son champ de travail est en proie aux passions sataniques Derrière toute chose, il voit l'accomplissement final comme un soleil qui brillerait sans se coucher vraiment."[...]
P>Je ne crois pas que beaucoup d'internautes de passage ne se reconnaîtront dans cette définition.

 

 

 

Bienheureux sont ceux qui ont faim et soif de justice, car ils seront rassasiés.

[...]En vérité chacun avait spécialement faim et soif de justice! Or une fois ce désir de justice plus ou moins rassasié, la béatitude, cet état de bonehur et de joie spirituelle suprême, a-t-elle été votre partage? Sans doute vous aviez faim et soif de justice, mais permmettez-moi de vous demander: aviez-vous déjà cette même faim et cette même soif avant le grand bouleversment mondial?L'aviez-vous alors que vous complaisiez dans l'abondance et que vous ne manquiez de rien? [...]

Bonne question, allez-vous rétorquer? Merci de l'avoir poséé?

 

"Bienheureux les misérocordieux, car il leur sera fait miséricorde."

Comme nous l'avons vu au cours de notre études des Béatitudes, les chercheurs et exégètes croient se trouver ici devant la pratique d'un humanitarisme chrétien, une manière d'agir chrétienne dans la vie ordinaire donnant droit à une béatitude future et des moments agréables dans le présent comme récompense <

Selon la compréhension populaire et aux dire des théologiens, les mésirécordieux sont ceux qui, pleins de pitié et de charité , compatissent à la misère d'autrui et secourent les personnes dans le besoin. On constate que ces méséricordieux ne sont, en général, ni parmi les plus intelligents, ni parmi les plus fortunés. On peut en effet être miséricordieux sans avoir pour cela les moyens de donner largement; dans ce cas, Dieu voit surtout l'intention. [...]La Béatitude que nous étudions ici:[..]a une signification essentiellement différente de ce que l'on croit génralement; car lorsqu'un être est vraiment chrétien, lorsqu'il vit la pure essence du christianisme, ses réflexes de bonté ne sont plus expérimentaux; sa bonté est l'expression absolue d'un état d'être absolu. L'homme intelligent ne demande pas "Quelle forme de bonté dois-je execer?" mais: "Comment parvenir à cet état d'être qui rayonne naturellement et nécessairement la vraie bonté?" [...]

Vous devez vous préparer.