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COUCOU
GALACTÉA: ENTITÉ COSMIQUE SINGULIÈRE ?

 

 

 

Depuis longtemps, depuis que j'ai pris connaissance qu'il existait une singularité galactique imaginée connue sous le nom de son créateur, astrophysicien et donc de NUAGE de Jan Oort, mon esprit est entré en ébullition. C'est un peu comme si mon esprit s'attendait qu'il existât sans en préciser sa forme un objet cosmique qui pouvait servir comme bouclier au système solaire. Cela fait des lustres que les astrophysiciens dépensent des énergies folles à scruter l'espace intersidéral afin de prouver que la vie sur terre n'est pas une incongruauté ou une singularité spécifique en espérant trouver une planète tournant autour d'une étoile sur une orbite très précise autoutr d'une étoile. Or justement,avec la découverte d'un nuage sphérique immense de comêtes gélées qui agirait selon mon intuition comme une sorte de rideau spérique protecteur (de quels dangers? on le saura par la suite), je me suis convaincu que les choses se compliquent dans ma perception personnelle de l'Univers. Ce nuage se présenterait bien comme une sigularité supplémentaire qui viendrait bien bouleverser la conscience que l'on a de notre existe. Les recherches des astrophysiciens de l'existence d'autres formes de vie dans l'univers n'ont pas abouties, du moins au moment où ces lignes sont écrites. Pour l'instant les scientifiques se contentent de chercher dans l'immense espace intersidéral, une planète, ce qu'ils appellent plus exactement une Exo planète, c'est à dire une planèe qui tournerait autour d'une étoile selon une orbite située dans une zone orbitale particulière pour que la vie apparaisse sur cette planète. Selon les critères définie par plusieurs disciplines de la science actuelle. Édemment, cette vie serait évidemment semblable à celle à la nôtre, à base d'eau liquide, de carbone, d'azote et d'oxygène.
Seulement depuis l'hypothèse d'un nuage sphérique bourré de comètes on peut se demander si l'axe de recherche des astrophysicien est complet. Il se pourrait bien que leur méthode de recherche ne soit pas adaptée car il manque une élément important pour qu'elle soit productive à trouver ce qu'il cherche: la présence d'un nuage de Oort!
Peut-être serait-il nécessaire que les scientifiques cherchent aussi un système de type solaire mais protégé par un nuage de type Oort de surface sphérique. Dans la mesure où il est admis par les mathématiques fondamentales, selon leurs équations, que notre monde ne peut pas être un monde qui se développe de manière chaotique, ce qui reveint à dire en fonction du hasard (random univers mais au contraire selon un ordre précis sous le contrôle de quatre lois universelles, Évolution, Équilibre, Cycles et affinités, cela implique que dans notre monde le hasard n'existe pas, et que tout objet qui existe procède d'une fonction utile, soit pour le bon fonctionnement de l'univers, soit que cet objet s'intègre dans le processus d'évolution de l'univers. Il peut paraître admissible pour tout observateur attentif et consciencieux que ce nuage de Oort doit son existence à une fonction de protection du système solaire. Autrement il est plus aisé d'intégrer l'existence d'un tel nuage si celle-ci s'accompagne d'une fonctionnalité. Et si le hasard n'existe pas, tous les éléments qui composent cet univers ordonné ne sont pas nés au hasard. Il y a donc un principe de l'existence que la science ne comprend pas encore mais qui concerne TOUT ce qui existe dans ce bas-monde, aussi bien dans les règnes minéral, végétal, animal et humain. C'est justement à partir de cette complexité et l'existence de cet ordre de la Nature que les populations humaines ont imaginé l'existence de créateurs supérieurs appelés dieux.

    

 

 

 

  

   Alors qu'il n'existe aucune démonstration incontestable, en dehors de sentiments intérieurs très profonds, de ce qu'on appelle la FOI, que Dieu existe, les mathématiques poussent les scientifiques à admettre qu'il existe un Ordre de la Nature; un ordre invisible à tout esprit commun au point de le qualifier de divin car il ne peut se comprendre que grâce au recours de l'imaginaire. Pour les croyants, cet Ordre de la Nature serait défini pau un Dieu manifestant de son amour pour notre monde et pour les êtres vivants qui y demeurent en manifestant son pouvoir d'influencer les parcours terrestres des âmes qui y demeurent. La différence entre la croyance et la théorie, c'est que la croyance ne s'établit jamais sur une évidence rationnelle, mais seulement selon un besoin impérieux de se donner une réponse rassurante aux angoisses existentielles qui plombent les pauvres âmes en exil dans ce monde des ténèbres et en leur procurant une lueur d'espoir qui n'annihile jamais pour autant l'angoisse des êtres vivants devant la mort. Je n'irai pas plus loin dans cette digression philosophique dont le thème est vaste et surtout polémique au point qu'elle pourra vous paraître hors sujet. Pourtant cette digression a pour mission de préparér à recevoir la théorie qui va vous être proposée en se posant cette question: cet objet astronomique, galactique, cosmologique contiendrait'elle une dimension métaphysique?

Si vous observez bien l'image que je vous propose au début de cette dossier, à partir une représentation du nuage d'Oort disponible sur internet, il vous apparaîtra peut-être qu'en effet l'existence de ce nuage de forme sphérique appelé nuage d'Oort ressemble à une sphère protectrice de notre système solaire. Mais si on exclut le hasard, alors la présence de ce nuage immense peut-elle se comprendre comme une singularité qui n'a aucune importance pour que se développe la vie en son sein sur la terre? C'est tout le sujet de ce dossier.

  

 

 

 

  

Pour les astronomes, enfin pour beaucoup d'astronomes, le nuage d'Oort se présente comme une sorte de réservoir de comètes. Sauf que ces comètes ne seraient pas d'origine intérieure à l'espace cosmique que ce nuage sphérique délimite.
C'est d'ailleurs l'hypothèse défendue par certains astronomes pour lesquels ces comètes auraient été capturées à l'extérieur du système solaire. Mais selon quelles forces d'attraction? Et pourquoi? Et selon quelle équations il serait possible d'expliquer comment ces comêtes capturées seraient rester sur cette surface sphérique pour former un nuage? Mais les scientifiques constatant que les comètes contenues dans le nuage de Oort ont une chimie et des propriétés isotropiques semblables aux comètes internes à courte période système solaire.


La preuve est donc faite pour un grand nombre d'astrophysiciens que ces comètes dites à periode longue ont une origine intérieure à cette partie de cette univers délimitée par le nuage de Oort. Et c'est un élément de connaissance scientifique qui est un élément important dans l'hypothèse que je développe.
Pierre – Simon de Laplace (marquis de Laplace, physicien, mathématicien et astronome du 18ème siècle) en étudiant les orientations des comètes lesquelless apparaissaient dans toutes les directions par rapport au plan du système solaire par rapport aux planètes a conduit le marquis à imaginer que le nuage de Oort devait posséder une forme sphérique (et non la forme d'un disque) selon une théorie qui avait le mérite de donner une explication logique aux diverses orientations des trajectoires des comètes dites à longue période. Alors que les comètes à courte période qui apparaisse,t régulièrement dans notre ciel et qui passent très proche du soleil, naissent de la célèbre ceinture de Kuiper en forme de disque.

    

 

 

 

 

 
Or il se trouve qu'une récente étude de deux chercheurs de Harvard remet le nuage de Oort au centre de l'actualité dans la mesure où ce nuage se trouve aux confins de notre système solaire formant une sphère immense dont l'intérieur est quasiment vide , et dont l'existence pourrait être expliquée par la présence d'une deuxième étoile au début de la formation du système solaire.
Aujourd'hui la théorie de ce nuage de Öpik-Oort est très bien inscrite dans le cadre dynamique de notre système solaire et admise par la communauté des astronomes et astrophysiciens.
L'étude de ces deux chercheurs de Harvard n'a pas été retenue parce qu'elle présentait un défaut grave : s'il existait à la naissance de ce système solaire un solide double, pourquoi tout a disparu ? Dès lors cette étude a été abandonnée au profit de la théorie officielle décrite par l'astronome Yan Oort

La raison qui a fait supposer aux astronomes l'existence d'un nuage sphérique entourant le système solaire provient de leurs observations des trajectoires orbitales de ces comètes qui viennent nous voir régulièrement c'est en outre parce que celui-ci fonctionnerait comme une sorte réservoir à comètes sous la forme d'un nuage, c'est à dire dans la toute périphérie de cette sphère galatique. En revanche il faut admettre que les comètes dans ce nuage d'Öpik-Oort n'ont jamais été observées.
Cependant ce nuage sphérique de Oort devient une évidence pour les astronomes car elle permet d'expliquer la présence régulière de comètes de longue période dans la mesure où il faut bien renouveler les comètes qui apparaissent à proximité de notre planète car celles-ci sont condamnées à disparaître au bout de quelques passages trop proches du soleil qui les fait fondre. Ce qui revient à dire que pour expliquer les passages réguliers de ces comètes, il existe donc une réserve de comètes dans le nuage de d'Oort. Ce nuage serait périodiquement déformé gravitationnellement soit par des passages d'autres étoiles à proximité, soit par des marées cosmiques (*).
Sa dimension est estimée à 100 000 unités astronomiques (ua) soit une année-lumière et demi.. Les astronomes ont été capables de donner une estimation du nombre de comètes contenues dans le nuage Oort qui serait de l'ordre de 100 milliards.

    

 

 

 

 

 

 

 

LA SPHÈRE GÉOMÉTRIE SPÉCIALE : la sphère est une forme géométrique particulière adoptée abondamment par la vie. La sphère est un volume particulier dont la mission est de spéparer un espace ou de la matière du reste de l'environement. En dehors de sa définition mathématique, la sphère dont une surface spéciale qui joue un rôle important de protection. On retrouve la forme sphèrique abondamment dans la réalité de ce monde puisque nous avons en premier lieu évidemment les planètes, les astres, les étoiles et les soleils. C'est à partir de cette réalité qu'en ce qui me concerne je déduis que l'existence de ce nuage de ÖPKI-Oort, si les conclusions issues des équations de ses inventeurs sont justes, ne devait rien au hasard. Un hasard qui, je le ressasse, ne peut être de ce monde. Et en continuant ma spéculation intellectuelle, je tire la conclusion qu'il est fort possible que la naissance du système solaire n'ait pu avoir lieu justement parce que ce système solaire est né dans une zone de l'espace protégée par le nuage d'un environnement trop hostile pour que les chances soient réunies pour que la vie apparaisse sur une planète de ce système solaire, sur Mars il y a des millions d'années et sur la terre de nos jours. Pour moi l'existence de ce nuage sphérique est un mystère que l'Homme ne peut pas ignorer dans ses spéculations cosmologiques. Il y a un autre mystère que je souhaiterais pouvoir éclaircir concernant cet ensemble " nuage de comètes-système solaire, c'est de savoir lequel des deux est apparu antérieurement à l'autre dans la création. Sont-ils apparus ensemble dans l'univers, ou l'un après l'autre et dans quel ordre?.
Mon intuition est c'est le rassemblement de commêtes gelées dans un nuage sphérique qui a rendu possible la naissance d'une étoile assez massive pour que cette étoile puisse accoucher l'une après l'autre les planètes que l'astrophysique connait aujourd'hui.


    

 

 

 

 

 

 
De ces deux objets, système solaire – nuage de Oort, je les assemble en un objet complexe galactique fonctionnant comme une entité cosmique à part entière et donc je lui attribue une identité, voire une âme et un destin, une mission.
Glactéa est un monde, un paradigme qui se distingue du reste de l'espace sidéral et dans lequel la vie existe parce que les conditions sont requises pour qu'elle apparaisse. Se pourrait-il que sans l'existence d'une entité cosmique comme Galactéa soit indispensable à l'apparition de la vie sur une planète du système étoile-planète à la distance convenable de l'étoie? Je pose cette question en sachant pertinement que la science n'a pas encore officiellement découvert, prouvé matériellement l'existence du nuage de Oort et alors que mon intuition a tendance à me le confirmer. L'existence du Nuage de Oort n'est pour le moment qu'une thérie qui découle directement de la conclusion d'équations mathématiques appliquées en astropysique. Mais c'est une théorie qui a de la force.
Se pourrait-il que les résultats de ces équations soient susceptibles d'être constestées un jour?
Personnellement, cela se peut mais ce serait très dommage. Toutes mes spéculations seraient annihilées, alors que celle-ci me laissent entrevoir une comogonie qui bouleverse la vision que se fait l'Homme actuel de l'univers et surtout de la perception qu'Il se fait de Dieu.

 

 

 

UN TEL PARADIGME PEUT-IL ÊTRE CONSIDÉRÉ COMME UNE SINGULARITÉ OU COMME UNE NORMALITÉ?
Peut-il, selon vous, être concenvable qu'il ne puisse exister dans ce plan universle de notre monde un seul et unique cas de système planétaire entouré (protégé au moins symboliquement) d'un nuage sphérique de comètes de type Oort?
Ou peut-on supposer, au contraire qu'il en existe des centaines, des milliers, des millions? Pourquoi et quelles raisons Galactéa devrait être considéré comme restant un cas unique?
Mais ce n'est pas tout.

Dans ces conditions, pourquoi ne pas imaginer que des millions de Galactéas seraient identiques? Pourquoi ne pas envisager que ces "mondes" obéiraient à des lois d'évolution qui tiendrait compte des niveaux de degrés de conscience des âmes en fonction également des exigences des expériences de la vie dans matière que ces âmes doivent accumuler. Des galactées qu'on pourrait nommmer en fonctions de leurs lois PARADIS - PURGATOIRES et ENFERS. Un concept qui s'accorderait avec les croyances cosmogoniques chrétiennes, selon lesquelles j'ai été élevé. Il se peut que ces notions figurent également dans les cosmogonies d'autres religions.
Ainsi selon ce concept d'une multitudes de galactées, les âmes ne sont pas contraintes de se réincarner dans notre Galatéa pour laquelle le niveau de conscience global de l'humanié est relativement bas. Un monde contraint à l'Évolution des êtres (de tous les êtres mais aussi de la matière) par des cycles de morts et de renaissances jusqu'à se produise un saut ou une chute du niveau de conscience personnel. Et par ce saut de niveau de conscience, en , l'âme aurait la possibilité de choix d'incarnation dans ce plan de la matière mais dans d'autres pardigmes, dans d'autres glactées plus évoluées dont les lois de vie serait moins éprouvantes.

Bien-évidemment, il convient de faire la part des choses et se poser la question Comment un cerveau mortel parfaitement adapté au combat pour la survie peut habiter un esprit capable d'inventer et d'imaginer des mondes, des galactées avec des règles qui ne soient pas aussi implacables?

Personnellement je m'accroche à cet espoir, à cette logique. Il est clair que nous vivons dans un univers complexe, considéré comme un continumm espace-temps. Et c'est au nom de ce continuum qu'il est logique de penser que la mort du corps biologique ne peut être considéré comme étant également la dispariton de l'âme. Un âme qui migre en emportant dans ses bagages la mémoire des expériences vécues dans un premier temps dans son monde éthérique. Puis en fonction de l'lélévation de son niveau de conscience et de son passé, cette âme peut avoir acquis un passe céleste qui lui donne accès à des galactées aux règles plus douces.

 

 

 

 

BULLE LOCALE

Notre système solaire se trouve à l’intérieur d’une région galactique appelée bulle locale, une cavité de plasma à basse densité et à haute température entourée de gaz et de poussières. La forme et les frontières exactes de cette bulle, de même que son implication dans la formation d’étoiles voisines, étaient jusqu’à présent incertaines. Une équipe d’astronomes dirigée par le Harvard & Smithsonian Center for Astrophysics propose aujourd’hui une cartographie 3D très détaillée de la bulle locale interstellaire, retraçant l’histoire de notre voisinage galactique.

L’animation, qui fait l’objet d’un article publié dans Nature, révèle en effet qu’une série de supernovae, initiée il y a 14 millions d’années environ, est à l’origine de la formation de la bulle locale hébergeant notre système solaire ; ces explosions d’étoiles auraient, en outre, créé les conditions favorables à la formation de nouvelles étoiles sur les pourtours de la bulle. « Nous avons calculé qu’environ 15 supernovae se sont déclenchées sur des millions d’années pour former la bulle locale que nous voyons aujourd’hui », précise dans un communiqué Catherine Zucker, astronome au Space Telescope Science Institute.

La conclusion est évidente. Pour que la vie apparaisse dans ce monde, il est nécessaire d'avoir un empilement de paramètres cosmiques qui conditionnent l'apparition de cette vie. Et quand on a affaire à une suite d'empilements de conditions paramétrables , comme le nuage d'OOrt, un sytème planétaire particulier, avec une étoile mère de taille singulière et une planète qui tourne autour de l'étoile à une dsitance orbitale qui ne doit rien au hasard, on ne peut conclure, selon son tempréament que trois convictions:

  • La première est que cet empilement de conditions définit une ENTITÉ cosmique à laquelle il conviendra de donner un nom.
  • La deuxième conviction est que cette entité correspond à une singularité forcément unique et dans ce cas précis il ne sert à rien d'ausculter l'espace à la recherche d'extraterrestres qui nous reemblerait
  • La troisième convictin consistera à admettre que cette entité cosmique n'est pas une entité singulière unique et qu'il peut logiquement en exister une infinité d'autres mais qui fonctionneraient selon d'autres lois physiques et métaphysiques que celles qui régissent la vie sur la Terre.

Et ce n'est pas tout. De telles découvertes induisant de telles perspectives à la pensée humaine nous laisserait à penser que les âmes ne sont pas contraintes de s'incarner seulement dans une entité cosmique telle que la nôtre, mais a le choix de s'incarner dans d'autres entités cosmiques selon le degré d'évolutions des âmes. Un telle considération donne du corps à cette croyance religieuse, qui ne peut plus être considéré comme fortuite, de l'existence de l'enfer, du purgatoire et du paradis.

Il y a donc de quoi gloser.

Vous devez vous préparer à évoluer.